
Les États-Unis l'Amérique préparent les nouvelles sanctions en ce qui concerne la Russie.
Comme le Censor.NET Est absent en référence à ZN.UA, le fonctionnaire américain a communiqué sur cela à l'édition The Wall Street Journal.
Au dire de la source, il faut le temps pour que les sanctions actuelles commencent à donner bol'chee l'action sur la Russie.
"Les nouvelles sanctions d'affaires en ce qui concerne la Russie sont élaborées déjà", - le fonctionnaire a dit.
Presque l'année a passé après le départ de la campagne militaire de la Russie en Ukraine, les États-Unis et leurs alliés européens se sont trouvés en posture délicate : ils tentent d'élaborer péniblement la stratégie, qui obligera Moscou à reculer.
Les fonctionnaires américains reconnaissent que malgré le fait que les sanctions occidentales, en liaison de la chute rude des prix du pétrole causent le préjudice lourd à l'économie russe, ils n'ont pas obligé le Kremlin à cesser le soutien des boieviks en Ukraine Orientale.
"Il faut reconnaître que les pertes pour la direction russe non tellement grand pour modifier l'interprétation du cours des actions", - le fonctionnaire principal de l'administration Obama a dit.
Comme le secrétaire d'État John Kerri, qui part pour l'Ukraine pour la rencontre avec le président Pierre Porochenko et d'autres leaders ukrainiens déjà déclarait, les politiques à Washington reconsidèrent la décision de ne pas livrer l'arme à l'Ukraine.
L'Attaché de presse du Département d'État américain Djen Psaki a refusé de confirmer mardi, si Kerri dira sur une nouvelle aide à l'Ukraine.
Comme marque l'édition, de plus en plus des fonctionnaires américains soulignent : la pression économique doit se marier avec l'aide plus sûre dans la garantie de sécurité.
L'idée de l'octroi de l'armement défensif aux Ukrainiens se sert depuis longtemps du soutien chez certains fonctionnaires haut placés dans les départements d'État et de la défense. Mais dans le passé ces recommandations se heurtaient à la résistance dans la maison Blanche.
Il y avait maintenant des signaux, qui témoignent de ce que l'administration du président américain Barak Obama reconsidère l'efficacité de sa politique en ce qui concerne la Russie.
L'idée de l'octroi de l'aide militaire à l'Ukraine a jusqu'ici beaucoup d'adversaires. À leur avis, un tel pas peut provoquer la campagne encore plus sanglante militaire de Moscou.
Les partisans de l'aide militaire on dit qu'une telle décision permettra Kiev d'infliger de grandes pertes aux boieviks qu'à Moscou coûtera de grandes dépenses.
Le Kremlin, qui nie le soutien des boieviks et l'expédition des troupes régulières russes sur l'Est de l'Ukraine, "est sensible" quand même aux messages sur la destruction des militaires de la Fédération de Russie en Ukraine. Un des arguments des partisans de l'aide militaire à l'Ukraine est ce que la quantité de soldats périssant russes, les corps de qui seront rendus à la Russie, provoquera l'indignation de l'opinion publique, et obligera le Kremlin à reconsidérer la position.
Le conflit a éclaté de nouveau dans le mois dernier, marque l'édition. Quand en automne pour la dernière fois la question était discutée la question de l'aide militaire, les fonctionnaires dans le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis disaient qu'un tel pas ne changera pas ce fait que la quantité de militaires russes surpasse à un fort degré la quantité de militaires de l'Ukraine, et que l'arme mise par les Américains s'aggravera seulement l'opposition.
Alors cet argument a gagné, et les États-Unis ont limité l'aide par l'arme non fatale.
Néanmoins, un fonctionnaire haut placé américain a déclaré que les boieviks soutenus par la Russie utilisaient les derniers mois l'accalmie relative pour recevoir un nouvel armement lourd des Fédérations de Russie. Un tel argument a fait au prétexte aux partisans de l'octroi à l'Ukraine l'aide militaire se mettre à parler de ce que la politique des États-Unis à côté des sanctions contre Moscou et le soutien économique de Kiev doit aussi comprendre une grande composante militaire.
Source: http://censor.net.ua/

